CRISTO DE NUEVO CRUCIFICADO Autor: KAZANTZAKI, Nikos. CRISTO DE NUEVO CRUCIFICADO 541 pp. Narrativa extranjera.CRISTO DE NUEVO CRUCIFICADO.
Christ Crucified | |
---|---|
Artist | Diego Velázquez |
Year | 1632 |
Medium | oil on canvas |
Dimensions | 249 cm × 170 cm (98 in × 67 in) |
Location | Museo del Prado, Madrid |
Christ Crucified is a 1632 painting by Diego Velázquez depicting the Crucifixion of Jesus. The work, painted in oil on canvas, measures 249 × 170 cm and is owned by the Museo del Prado.
During his stay in Rome, Velázquez made various nude studies he used in later paintings, such as Apollo at the Forge of Vulcan (1630) and Joseph's Tunic (1630). Art critics assert that the nude study for this painting is exceptional and masterly in its fusion of serenity, dignity and nobility. It is a life-size frontal nude, without the support of a narrative scene.
Velázquez followed the accepted iconography in the 17th century. His master, Francisco Pacheco, a big supporter of classicist painting, painted the crucified Christ using the same iconography later adopted by Velázquez: four nails, feet together and supported against a little wooden brace, in a classic contrapposto posture. Both arms draw a subtle curve, instead of forming a triangle. The loincloth is painted rather small, thus showing the nude body as much as possible. The head shows a narrow halo, as if it came from the figure itself; the face is resting on the chest, showing just enough of his features. The long, straight hair covers a great part of the face, perhaps foreshadowing the death, already inflicted as shown by the wound on the right side. It lacks the characteristic dramatic qualities of Baroque painting.
Because of lack of information, the date of the painting is unknown. Nevertheless, historians believe the work was made after Velázquez' return from Italy, probably between 1631 and 1632. The influence of Classicist painting is shown by the calm posture of the body, the idealized face and the leaning head. On the other hand, the influence of Caravaggism can be seen in the strong chiaroscuro between the background and the body, and in the strong, artificial lightning over the cross.
It was most likely a commission for the San Plácido Convent sacristy. The painting was among the impounded items of Manuel Godoy, but was returned to María Teresa de Borbón, 15th Countess of Chinchón. After her death, the painting was passed on to her brother-in-law, the Duke of San Fernando de Quiroga, who gave it to King Fernando VII. The king then sent the painting to the Museo del Prado.
The spirituality and mystery of this painting have inspired much religious writing, notably the poem El Cristo de Velázquez by the Spanish writer and philosopher Miguel de Unamuno.
Date de parution | novembre 2017 |
Editeur | République des Lettres |
Format | ePub |
Type de DRM | Adobe DRM |
Texte intégral révisé suivi d'une biographie de Nikos Kazantzakis. 'Les Frères ennemis' décrit, dans un village grec de l'Épire, les épisodes dramatiques de la guerre civile qui ensanglanta la Grèce de 1944 à 1947. Les Bérets rouges (partisans communistes retranchés dans la montagne) et les Bérets noirs (forces gouvernementales) se disputent le village de Kastellos. Occupé trois fois par les partisans, repris trois fois par les forces de l'ordre, Kastellos n'est plus que ruines, deuils et mort. Le pope du village,... Voir la suite
Retrouvez votre ebook dans l'appli Kobo by Fnac et dans votre compte client sur notre site web dès validation de votre commande.
Bénéficiez du même confort de lecture qu’un livre papier avec les liseuses Kobo by Fnac ou retrouvez vos eBooks dans les Applis Kobo by Fnac GRATUITES pour tablettes et smartphones. Emportez plus de 3000 livres partout avec vous avec Kobo by Fnac.
Texte intégral révisé suivi d'une biographie de Nikos Kazantzakis. 'Les Frères ennemis' décrit, dans un village grec de l'Épire, les épisodes dramatiques de la guerre civile qui ensanglanta la Grèce de 1944 à 1947. Les Bérets rouges (partisans communistes retranchés dans la montagne) et les Bérets noirs (forces gouvernementales) se disputent le village de Kastellos. Occupé trois fois par les partisans, repris trois fois par les forces de l'ordre, Kastellos n'est plus que ruines, deuils et mort. Le pope du village, papa Yannaros, s'efforce de saisir la volonté de Dieu, à travers ces affrontements sans fin. Mais il n'y a pas de volonté de Dieu. Déchiré entre son amour de la justice (qui le range aux côtés des partisans) et son amour du Christ (que les partisans renient), le pope voit s'éloigner chaque jour davantage les chances d'une réconciliation. Écrit au lendemain de la guerre civile grecque, ce livre terrible condamne sans appel la violence, le dogmatisme et l'aveuglement des hommes en proie à la haine. Un désespoir étouffant court dans ces pages, les plus denses et les plus enflammées qu'ait écrites l'auteur de 'Zorba le Grec'. Une issue pourtant se dessine, à travers ces massacres, ces dilemmes qui enserrent les êtres dans un étau impitoyable: conserver jusqu'au bout l'amour d'autrui, le sens de la fraternité et mourir pour ce combat-là. Voie difficile qui mène à la mort et au martyre, mais qui fut toujours celle des personnages héroïques de Kazantzakis.